
Plus que le talent ou les facilités, une bonne organisation constitue la principale qualité d’un étudiant en santé. En entrant à l’université, les candidats aux examens de PASS ou de LAS n’ont que très peu de temps pour s’adapter. Ils doivent immédiatement adopter un planning de travail d’étudiant en rompant avec certains réflexes du lycée. Certes, on enseigne cette méthodologie en prépa médecine. Mais comment faire pour prendre encore plus d’avance, dès la classe de première ou de terminale ?
Suivre une Première Santé ou une Terminale Santé pour intégrer la méthodologie de la prépa médecine
Le meilleur moyen pour adopter un planning de travail d’étudiant dès le lycée, c’est encore de suivre une formation courte afin d’éprouver ce qui s’enseigne concrètement en classe préparatoire ! Dans certaines villes, des instituts se chargent de combler les demandes de nombreux lycéens.
C’est le cas d’Antémed Epsilon, une école qui organise une Prépa médecine à Paris très réputée. En parallèle, elle propose des dispositifs nommés Première Santé et Terminale Santé, pour permettre aux lycéens de :
- Découvrir les premières notions de biochimie, de biophysique, d’anatomie et de pharmacologie ;
Se familiariser avec la méthodologie attendue en PASS, grâce aux interventions structurées de la spécialiste Anne de Pomereu ;
- Comprendre les techniques de mémorisation qui fonctionnent, au sein d’ateliers animés par le champion de mémorisation Florian Manicardi.
En ouvrant les portes de ses centres de Paris Cité, de la Sorbonne, de Sorbonne Paris Nord et du 16e arrondissement, Antémed Epsilon dote les lycéens participants de tous les outils nécessaires. Pour qu’ils puissent construire un autre rapport au travail, avant même le début de leurs études de santé.
La règle de base : travailler de manière structurée, ce n’est pas seulement bachoter
Mais on peut aussi utiliser quelques connaissances simples pour tenter d’adopter un planning de travail d’étudiant dès le lycée. Plutôt que d’empiler les heures de travail de façon anarchique, il vous faut utiliser les points suivants :
- Chaque semaine, consacrez au maximum 4 blocs de deux heures à la découverte des nouvelles notions ;
- En fin de journée ou au moment de la pause méridienne, des plages de travail d’une demi-heure serviront à la relecture des fiches et à la consolidation des savoirs ;
- Une à deux fois par semaine, organisez quelques exercices avec des camarades, à l’issue desquels vous débattrez de vos réponses : pour comprendre vraiment une notion, on doit aussi apprendre à la manipuler.
C’est d’ailleurs tout l’enjeu des cours de méthodologie en prépa médecine. Pour que les étudiants en PASS et en LAS accèdent aux études de santé, ils doivent d’abord comprendre ce qu’ils apprennent, et savoir l’utiliser. En abandonnant leurs réflexes de bachotage.
Un planning de travail efficace permet de performer sans s’épuiser
Enfin, un planning de travail d’étudiant doit aussi permettre de performer sans s’épuiser. Pour épouser une telle organisation dès le lycée, quelques astuces rationnelles sont à mobiliser.
- Le mieux est l’ennemi du bien ! Ne surchargez pas votre agenda avec des listes d’objectifs interminables ou des emplois du temps impossibles à tenir ;
- C’est la régularité qui doit guider l’élaboration de votre planning : privilégiez les révisions quotidiennes courtes et efficaces aux longues journées de travail improductives et stressantes ;
- Accordez-vous obligatoirement une à deux demi-journées off hebdomadaires. Sans quoi, vous ne tiendrez pas la distance une fois en première année.
L’essayer, c’est l’adopter ! En puisant dans ces diverses ficelles des prépas médecine, vous consoliderez plus efficacement vos apprentissages. De quoi accéder sans trembler aux prestigieuses filières MMOPK !

